Que ce soit du côté des télétravailleurs, ou du côté de l'encadrement, la période récente, si elle s'est déroulée dans une certaine précipitation et impréparation parfaitement compréhensibles, a permis de soulever quelques problèmes.
N'hésitez pas à nous faire remonter les problèmes rencontrés, que vous soyez télétravailleur ou encadrant.
L'UNSA DGFiP a toujours été favorable au télétravail, et nous nous engageons à tout mettre en oeuvre pour que ce nouveau mode de travail se déroule dans de bonnes conditions dans un avenir proche.
L'article d'Acteurs Publics que vous trouverez en intégralité ci-dessous pointe notamment la relation des cadres avec les télétravailleurs :
En revanche, la très grande majorité des managers interrogés disent ne pas avoir été suffisamment préparés à cette pratique inédite d’un télétravail quasi total. En effet, 75 % des répondants déclarent que “leur administration avait une culture du télétravail insuffisante voire absente avant le confinement”.
Les causes des difficultés éprouvées par les agents et citées par la Dinum sont de plusieurs ordres : le manque d’accompagnement au télétravail, la difficulté dans le partage des temps personnel et professionnel, la difficulté à “déconnecter” ou encore la
“gestion de la pression en autonomie (hypersollicitations, instantanéité…)”. D’autres limites de la pratique du “tout-à-distance” ont aussi été évoquées par Nadi Bou Hanna lors du webinar organisé par la DGAFP, comme la “dispersion de l’information” sur
les outils à disposition des agents publics, les secrétariats peu équipés en mobilité. “La question de l’outillage est aussi revenue, avec en particulier une approche de la débrouille”, a ajouté le directeur en pointant les limites de ce qu’il était possible de faire avec les
outils mis à disposition par l’État. L’utilisation des équipements personnels a ainsi été privilégiée dans certains cas, ceux-ci étant jugés comme plus performants et plus rapides que ceux des administrations.